To the President on the opening ceremony of the Paris 2024 Olympic Games

Mr. President,
Congratulations on an Olympic Games Opening Ceremony that left the confines of a stadium to showcase the beauty of Paris. The City of Light shone brightly. Some moments were moving and sumptuous.
Nevertheless, several parts of the ceremony are to be deplored. Madame Anne Descamps, Paris 2024’s communications director, apologized after international and national remonstrances.
– The Olympic ideal („higher, stronger, faster – together“) is incompatible with an aesthetic of female decapitation. Recently, France, home of human rights, condemned all terrorist beheadings, even more so after the beheading of Samuel Paty. Let’s abolish any apology for terror, even more so that of the State, as Robert Badinter would have done. Global audiences, often families, want to celebrate life raised by flame, not shortened by iron. Honoring Olympe de Gouges as a golden woman in the ceremony was a wise move. She too would have liked to escape the guillotine that chopped off her head and her ideas on women’s rights in 1793.
– Our ancestors did not bequeath us libraries so that we scatter the pages of books and indulge in libertinism.
– We should avoid offending the faith of athletes and spectators alike. Imitating and revisiting the Last Supper with refreshing humor would have been acceptable, but deriding it with childish blasphemy was the option to be ruled out without hesitation.
France wants to present itself as a country of freedom in the broadest possible sense, but for many people around the world, France seems to advocate provocative libertinism rather than freedom. They are shocked and saddened to see that France seems to have lost the values that shaped its history.
Let us hope, Mr. President, that the closing ceremony of the Olympic Games will avoid such excesses.
Yours sincerely
Universal Peace Federation France

Au président sur la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024:
Monsieur le Président,
Félicitations pour une cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques qui a quitté les confins d’un stade pour montrer la beauté de Paris. La ville-lumière a brillé de tous ses feux. Certains moments étaient émouvants et somptueux.
Néanmoins, plusieurs parties de cette cérémonie sont à déplorer. Madame Anne Descamps, la directrice de la communication de Paris 2024, a présenté ses excuses après des remontrances internationales et nationales.
• L’idéal olympique (« plus haut, plus fort, plus vite – ensemble ») est incompatible avec une esthétique de la décapitation des femmes. Récemment, la France, patrie des droits de l’homme, a condamné toute décapitation terroriste, encore plus après la décapitation de Samuel Paty. Abolissons toute apologie de l terreur, celle de l’État encore plus, comme l’aurait fait Robert Badinter. Le public planétaire, souvent familial, veut célébrer la vie élevée par la flamme et non pas raccourcie par le fer. Honorer Olympe de Gouges comme une femme en or dans la cérémonie était judicieux. Elle aussi eût aimé échapper à la guillotine qui trancha sa tête et ses idées sur les droits des femmes en 1793.
• Nos ancêtres ne nous ont pas légué des bibliothèques pour éparpiller les pages des livres et s’adonner au libertinage.
• On évite d’offenser la foi des athlètes et des spectateurs. Imiter et revisiter la Cène avec un humour rafraîchissant aurait été acceptable, la tourner en dérision par des blasphèmes infantiles était l’option à écarter sans hésitation.
La France veut se présenter comme un pays de liberté dans le sens le plus large possible, mais pour de nombreux peuples du monde, la France semble prôner davantage le libertinage provoquant que la liberté. Ils sont choqués et attristés de voir que la France semble avoir perdu les valeurs qui ont construit son histoire.
Espérons, Monsieur le Président, que la cérémonie de clôture des Jeux olympiques évitera de tels excès.
Agréez, Monsieur le Président, l’expression de notre haute considération.
Fédération pour la Paix Universelle